On n'en parle pas forcément mais le succès au MagicLand se poursuit. Le parc d'attractions fonctionne bien, attire des gens et remplit ses caisses. Et comme tout parc qui remplit ses fonctions premières, à savoir attirer des gens et être rentable, deux ans et demi après son ouverture, le papa de la Rainbow, M. Straffi, songe sérieusement à en ouvrir d'autres.

Pour revenir sur ceux qui le critiquaient à ses débuts, le jugeant pas fini et sans avenir, je tiens à préciser un fait inconnu du public: les investisseurs privés, ceux qui ont prêté leur argent pour financer la construction du parc, ont poussé pour que l'ouverture se fasse en mai 2011, alors que les dirigeants du projet, dont M. Straffi (qui a également investi de son argent privé dans le parc) voulaient attendre les grandes vacances de cette même année. Pourquoi avoir poussé? Ben tout simplement pour récupérer leur argent plus vite. Seulement voilà, en mai 2011, le parc n'était pas complètement terminé et ses premières critiques n'ont pas été que positives.

Mais deux ans et demi plus tard tout ça c'est du passé, le parc attire touristes étrangers et visiteurs italiens, et ses journées spéciales, une vingtaine par an, battent des records de visite, notamment les Winx Day.

Straffi et la Rainbow songent donc à en ouvrir d'autres dans d'autres pays en précisant tout de même qu'il n'investira pas ses fonds privés cette fois. Les pays visés par l'idée d'un nouveau parc sont deux grands pays qui possèdent une importante foule de fans des séries Rainbow, principalement Winx Club: la Turquie et la Russie.

Et avant que les français, râleurs pas nature, ne me sautent à la gorge en protestant qu'en France aussi, y'a une importante foule de fans, je précise que je parle d'importance proportionnelle à la population globale du pays. La Russie et la Turquie ont des millions d'habitants de plus que la France, ce qui donc beaucoup plus de fans potentiels.